En passant : Sam Flax
L' intro à la guitare peut faire craindre à de l' ennuyeux Black Keys mais il n'en n'est rien. Très vite les sonorités 80's déformée à la sauce lo-fi et les images du clip rappelant les grandes heures de la VHS nous rassure. Ariel Pink est dans les parages. Du coup tout y passe. Le glam (une tronche digne de figurer dans les Spiders from Mars de qui vous savez) , le psychédélisme californien, la disco et même, même la guitare de notre pire cauchemar musical de l' adolescence. Dire Strait ! Brrrrrrrrrrrrrrrrrrr. J' ai aussi pensé à l' autre horreur 80's-90's. Phil Collins !
Vous venez de rencontrer Sam Flax. Un sacré rejeton d' Ariel Pink James Ferraro et consors.
Je dois vous avouer qu'il faut plusieurs écoutes pour être imprégné par cette musique et surtout oublier la ressemblance avec ses illustres prédécesseurs mais une fois que celà est fait vous ne pourrez plus vous en séparer. Toute la spécificité de Sam Flax se révèle au grand jour et l' addiction est là. Jouissif.
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